Evaluez votre niveau de sensibilité face aux ondes
électromagnétiques avec le questionnaire :

votre sensibilité face aux ondes électromagnétiques

EHSI

EHSI est le premier questionnaire qui a pour vocation de proposer une auto-évaluation prudente de votre niveau de sensibilité face aux ondes électromagnétiques environnementales.

C'est-à-dire évaluer la réaction qu’a notre corps soumis aux stimuli des basses fréquences et des hautes fréquences ; afin d’acquérir une « hygiène de vie électromagnétique » pour prendre conscience des bons gestes à adopter pour s’en protéger et réduire votre niveau d’exposition.


Avant de remplir le questionnaire ADULTE ou PARENT/ENFANT
il est important de lire les informations ci-dessous

(Il faut compter 15-20 minutes pour ce test)


Début du questionnaire

test électrosensibilité en français Français test électrosensibilité en anglais English





Le questionnaire parents/enfant tient compte de symptômes possible recueilli dans différentes études, rapports scientifiques et préconisation d’organismes mondiaux par rapport aux enfants et à leurs comportements.

Smartphones, wifi, consoles, tablettes, ebooks… sont rentrés dans le quotidien des adolescents et de beaucoup d’enfants. Quels sont les impacts biologiques des ondes électromagnétiques et les risques plus spécifiques pour des êtres en pleine croissance ?

Comprendre la démarche de nos enfants face aux ondes artificielles est un vrai défi. Cette génération est la plus difficile à informer, à sensibiliser du fait de leur « hyper connexion ». C’est leur identité propre qui est touchée: « si je ne suis pas connecté, je n’existe pas, je n’ai pas ma place ». Triste constat mais bien réel ! Les enfants nés depuis les années 90 ne peuvent se soustraire à l’ensemble de ces champs.

C'est pourquoi certains scientifiques réunis à Londres en avril 2012 au congrès "Children with cancer 2012" n'hésitaient pas à parler "de la plus grande expérience technologique dans l'histoire de notre espèce". Les barrières (intestinale et hémato-encéphalique) des enfants ne sont pas encore formées que les enfants sont exposés aux ondes, mais aussi à des substances toxiques, à une nourriture bien souvent industrielle… dès leur développement embryonnaire.

L’effet « Smartphone » est très préoccupant voire « inquiétant » pour leur santé. Personne n’aurait pu imaginer que les Smartphones puissent provoquer un problème de santé publique, comme d’autres « bijoux » de la technologie, à moins d’apprendre à s’en servir en toute sécurité.

L’exposition aux ondes des téléphones et des technologies sans fil altèrerait le développement cérébral des fœtus et des nouveau-nés. Elle pourrait accroître le risque d’hyperactivité, de troubles du comportement à l’école et de problèmes d’apprentissage.

Selon Jennifer Maherou, chargée de la documentation scientifique à l’Association santé environnement France (ASEF) : « L’exposition prénatale aux ondes est inquiétante car c’est à ce moment-là que le cerveau du fœtus est le plus fragile, car en construction », explique la spécialiste. D’après une étude danoise publiée en 2008, les fœtus exposés aux ondes auraient 54 % de risques en plus de présenter des troubles du comportement au cours de leur vie.

Selon une enquête menée par L’AFPA (Association Française de Pédiatrie Ambulatoire), près d'un enfant de moins de 3 ans sur deux (47%) utilise des écrans interactifs comme des tablettes ou des Smartphones.

La psychologue américaine Jean M. Twenge étudie depuis vingt-cinq ans le comportement social et affectif des jeunes. 2012 est une année charnière, plus d’un ado sur deux était équipé d’un Smartphone. Aujourd’hui, c’est quatre sur cinq.

Durant cette période, les évolutions suivantes se sont produites. Elles concernent toutes les classes de la population, riches ou pauvres :

  • Les symptômes dépressifs se sont accrus de 50 % chez les filles et de 21 % chez les garçons, de 2012 à 2015
  • Le nombre de filles qui se sont suicidées a triplé entre 2007 à 2015, et celui des garçons doublé
  • Le nombre de jeunes qui voient des amis tous les jours a baissé de 40 % entre 2000 et 2015
  • Actuellement, les jeunes de 16 ans sortent moins que ne le faisaient ceux de 12 ans en 2009. Ils sont en train de cesser progressivement de sortir et de se socialiser dans les parcs, squares, etc., et restent seuls chez eux avec leur Smartphone
  • En 2015, seuls 56 % des élèves de terminale sont « sortis » avec quelqu’un, contre 85 % des jeunes dix ans plus tôt, un chiffre qui était stable depuis les années 1960
  • Le nombre d’enfants qui manquent de sommeil a augmenté de 57 % entre 1991 et 2015
  • Aux États-Unis, où l’obtention du permis de conduire était le rêve de tous les jeunes autrefois, le passeport pour la liberté, on observe un désintérêt massif des adolescents, qui préfèrent rester dans leur chambre sur leur Smartphone et se faire conduire par leurs parents
  • S’ils sortent moins souvent, les rares fois où ils le font sont abondamment communiquées sur Snapchat, Instagram ou Facebook. Ceux qui ne sont pas invités se sentent donc cruellement exclus : le nombre de jeunes filles se sentant rejetées et isolées a augmenté de 48 % de 2010 à 2015 et le nombre de garçons de 27 %
 

Paradoxe !
Steve Jobs, patron d’Apple, avait interdit le Smartphone à ses enfants.
Bill Gates, fondateur de Microsoft, ne voulait pas d’ordinateur chez lui.

Y avait-il un problème que ces « génies de l’informatique » avaient remarqué et dont leurs clients ne s’étaient pas aperçus ?

Ce questionnaire explore neuf dimensions de sensitivité aux ondes artificielles : le type d’exposition professionnel, le type d’exposition personnel, l’impact sur notre cerveau, sur notre cœur, sur notre respiration, sur notre peau, sur notre vue, sur notre comportement, ainsi que d’autres effets possibles.

Il n'a en aucun cas une valeur de diagnostic médical. Il peut toutefois vous renseigner quant à l'opportunité de chercher une aide médicale et/ou psychothérapeutique ou de vous informer auprès de spécialistes dans le domaine des ondes artificielles.

Important. Les symptômes mis en évidences peuvent avoir des origines diverses et s'accompagner d'une variété de symptômes psychiques et physiques. Le niveau mesuré par le questionnaire n'est qu'un élément indicatif parmi d'autres qui joue le rôle de baromètre, de prise de conscience des effets des ondes artificielles sur votre corps.

Seul votre médecin traitant ou un spécialiste dans ce domaine, est compétent pour tout avis concernant le diagnostic d’électro sensibilité et prescrire le traitement ou les recommandations adaptées.

Cela vient du mot anglais « electrosensitivity ». On parle aussi parfois "d'intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques" (IEI-CEM, formulation recommandée par l'OMS), d'électro-sensibilité, d'électro-hypersensibilité, ou de "syndrome d'intolérance aux champs électro-magnétiques" (SICEM).
 
La sensibilité électromagnétique fait référence aux personnes qui ressentent les champs électromagnétiques « haute ou basse fréquence » ou les deux, souvent accompagnée d'une gêne voire d'une souffrance provoquées par le rayonnement émis (maux de tête, fatigue, douleurs, irritation cutanée, agressivité, démangeaisons…). Cette gêne et cette souffrance ne sont pas issues de l'électrohypersensibilité mais elles sont issues des rayonnements électromagnétiques subis.

Les ondes artificielles vont donc stimuler notre organisme, ce qui va provoquer la réaction d’un ou plusieurs organes. Au niveau de notre cerveau par exemple, la BHE (Barrière hémato-encéphalique) peut finir par s’ouvrir en réaction aux stimuli des ondes (micro-œdèmes). D’autres organes comme le cœur peuvent aussi réagir (palpitations). C’est donc la réponse de notre corps pour l’alerter. Les personnes dites « électrohypersensibles » sont des enfants et des adultes qui sont tout sauf des personnes atypiques, marginales, voire anormales  comme voudraient le faire croire certains acteurs du secteur.

Cet outil d’auto-évaluation pour mesurer notre niveau d’exposition aux ondes artificielles a été créé par la fondatrice de l’association Sophie Gareau.
Ancienne consultante en ressources humaines pendant 5 ans, elle a toujours été motivée pour accompagner les jeunes. En effet, en 2003 elle crée et commercialise le CEP (Centre d’Évaluation des Potentiels) un concept d’orientation professionnel étudiant. Ensuite en 2004, elle développe une méthodologie en bilan de compétences adultes et juniors. Et enfin en 2005, création d’Opti Mum, une méthode d’accompagnement individuel axée sur « le physique et le mental » adaptée aux mamans en pré et post natal.

Après deux burn out, elle décide de tourner une des pages de sa vie en témoignant à travers son livre « aux confins de l’épuisement professionnel », des reportages « Dans les yeux d’Olivier »… Elle a compris que c’est en réaction à des stimuli de son environnement professionnel qu’elle a développé ses deux burn out, touchant directement ses valeurs jusqu’à perdre le sens de sa vie.

Parallèlement, elle s’est formée en coaching individuel et en team building tout en se certifiant sur différents outils psychométriques tel que le MBTI (Myers Briggs Type Indicator). Cet outil d’évaluation psychologique basé sur l’auto diagnostique de la personnalité lui a donné l’idée de réaliser ce questionnaire pour évaluer notre niveau de sensibilité physiologique face aux ondes artificielles.

Vous êtes la personne qui vous connaissez le mieux, afin d’évaluer votre niveau d’électro-sensitivité.

Pour élaborer le questionnaire « parents » / « adulte » et mesurer un niveau d’exposition global d’un individu, tant sur les types d’exposition environnementale intérieure qu’extérieure, Sophie Gareau a orienté ses recherches sur de nombreuses études scientifiques, ouvrages, revues médicales pour identifier des symptômes tangibles. Ce questionnaire tient compte de symptômes possibles recueillis dans différentes études, rapports scientifiques et préconisation d’organismes mondiaux de la santé.

(Sources études scientifiques et épidémiologiques mondiales et indépendantes : En 2011, l’OMS (l'Organisation mondiale de la santé) a classée les ondes électromagnétiques comme « potentiellement cancérigènes », l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a publié un rapport d’expertise relatif à l’exposition aux radio fréquences et la santé des enfants, l’étude de Feychting (1992 leucémie et ligne de haute tension), Association de médecins « concordance », La Résolution 1815 du Conseil de l’Europe, le décret du 18 octobre 2006 relatif à la comptabilité des équipements électriques et électroniques, ainsi que des centaines d’études d’experts internationaux nous obligent à garder un doute, un gros doute, quant à l’innocuité de ces fréquences et champs électromagnétiques, AFM-SICEM (Association des Malades du Syndrome d’Intolérance aux Champs Electro magnétiques), ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse).

Les premiers symptômes remontent à la 2ème guerre mondiale. Les opérateurs radio travaillaient sans cesse en contact direct sur ou autour d’un émetteur radio pour communiquer avec l’état major. Plusieurs d’entre eux ont rapporté des symptômes divers et incapacitants qui ont mené à la description du premier syndrome nommé « maladie des radiofréquences » (radio wave sickness).

Sur terre, nous sommes soumis à deux types de champs électromagnétiques :

  • Les champs d'origine naturelle terrestre
  • Les champs d'origine artificielle produit par l’homme

Ce questionnaire ne tient compte que des champs électromagnétiques produits par l’homme :

  • Les champs électriques 50Hz BF (basses fréquences)
  • Les champs magnétiques 50Hz BF (basses fréquences)
  • Les hyperfréquences 300MHz HF et 300GHz HF (hautes fréquences)

Que nous soyons à la maison, au travail, dans les transports, à l’hôtel, sur la plage, dans un club de vacances, chez des amis… nous pouvons prétende sans grand risque que nous sommes tous sous l’influence des champs électromagnétiques de nature artificielle.

Les champs électromagnétiques  sont de plus en plus présents dans notre environnement personnel et professionnel. Ils sont invisibles et inodores mais indentifiables et bien heureusement mesurables. Bon nombres d’études scientifiques et épidémiologiques mondiales et indépendantes pointent du doigt le fait que la surexposition des champs électromagnétiques est dommageable pour la santé.

Nous savons aujourd’hui que les champs électromagnétiques viennent perturber nos cellules, notre système endocrinien et nos défenses immunitaires.

Une norme légale n’est pas une limite biologique. Les normes actuelles varient d’un pays à l’autre, sans tenir compte de la population des 0/15ans qui sont les plus vulnérables et les plus fragiles. Si depuis 2003 les compagnies d’assurances ne couvrent plus les risques liés à ces ondes, posons- nous alors les bonnes questions en toute conscience.

A l’époque de nos grands parents ils n’existaient que les champs électromagnétiques 50Hz pour le réseau domestique, il n’existait pas les antennes relais, le CPL (courant porteur en ligne), le WIFI, le Smartphone… qui font que notre environnement se retrouve inondé, saturé d’ondes.

Nous ne sommes donc plus soumis à un seul type d’ondes artificielles mais à une multitude qui se juxtapose et qui peut créer des problématiques de santé.

C’est alors que certaines personnes, plus sensibles à ce type d’ondes commencent à en ressentir les effets plus ou moins intense et soufrent de maux parfois difficilement identifiables par le corps médical. Ces symptômes commencent à être reconnus dans beaucoup de pays sauf la France.

Rayonnement hautes fréquences ou hyperfréquences :

  • Téléphones portables et antennes relais avec le 2G, 3G le 4G et à venir le 5G
  • Téléphones DECT fixe sans fil : La base principale rayonne en permanence, plus faiblement combiné sur son socle et fortement combiné décroché
  • WIFI : entre une box et un ordinateur, une TV, entre un Smartphone et une box "hot spots" (restaurants, aéroports, gares et hôtels)
  • Bluetooth entre une souris sans fil et un ordinateur, entre l'oreillette sans fil et le Smartphone
  • Les fours à micro-ondes, les radars et autres nouvelles technologies utilisant les hyperfréquences
  • La liste des objets connectés est en pleine explosion

Les champs électriques basses fréquences sont émis par :

  • Les appareils électriques sous tension
  • Les réseaux de fils électriques sous tension

Les champs magnétiques basses fréquences sont émis par :

  • Les lignes électriques surtout HT (hautes tensions)
  • Les transformateurs
  • Les moteurs électriques
  • Les appareils qui comportent des bobinages
  • Les appareils électriques de fortes puissances (kW) : radiateurs électriques, plaques induction...

La multiplication permanente des champs électromagnétiques (antennes relais, wifi, Bluetooth, 4G, portables…) additionnée à l’explosion de tous les appareils connectés (jeux, consoles sans fils, compteurs communiquant, appareils électroménagers…), implique que nous sommes tous exposés. Les manifestations varient d’un individu à l’autre, nous ne sommes pas tous sensibles de la même façon. C’est surtout l’effet cumulatif de cofacteurs qui crée une pathologie rarement un seul facteur.

Les symptômes varient en fonction de l’intensité des rayonnements (mesuré par exemple en Volt/mètre, en nano tesla…) et des types champs électromagnétiques (antennes relais, radar, ligne de haute tension…)

Une norme légale n’est pas une limite biologique !
Nous pouvons tout à fait être sensibles sans symptômes avéré à ce jour mais qui peuvent se déclarer à moyen/long terme.
Nous sommes dans la même problématique que l’amiante à l’époque.

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